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Répartition spatiale conjointe des précipitations annuelles moyennes et des températures moyennes annuelles sur la période 1981–2010 sur le Cameroun

Cette carte bivariée présente la répartition spatiale conjointe des précipitations annuelles moyennes et des températures moyennes annuelles sur la période 1981–2010 sur le Cameroun. Si elle permet d’identifier grossièrement les zones agro-climatiques distinctes, son avantage aussi est de faire ressortir les contrastes régionaux au Cameroun. La légende nous indique qu’un croisement de teintes ou couleurs différentes ont été faites afin de faciliter une lecture et une interprétation simpliste de la carte. En bref donc, les températures ont été classées en trois niveaux (basses, moyennes, élevées) et les précipitations également, ce qui permet de distinguer 9 catégories climatiques représentées par un dégradé de couleurs bivariées allant du bleu (froid et humide), au rouge foncé (chaud et sec) avec un violet représentant les zones à la fois chaudes et humides.

On peut grossièrement relever ou identifier par exemple les régions chaudes et sèches du Nord-Cameroun (Garoua, Maroua, en allant vers le lac Tchad), les régions froides et humides des hauts plateaux de l’Ouest-Cameroun (Bamenda, Dschang) ainsi que la zone forestière du Sud-Cameroun au contact de la mer (Kribi) ou la zone aux fortes précipitations de toute la côte du golfe de Guinée (Douala, Limbé). Cette cartographie des conditions climatiques peut améliorer la compréhension des systèmes agricoles, les vulnérabilités hydriques ou thermiques et les potentiels d’adaptation ou de diversification agricoles. Pourquoi certaines cultures sont faites ici et pas là ? Quelles sont les zones qui sont les plus sensibles à la sècheresse ? Les zones chaudes et sèches du Nord rendent par exemple la culture des céréales dépendantes de la variabilité pluviométrique tandis que les zones forestières au Sud et à l’Est sont plus propices à une agriculture pérenne et diversifiée.

Cette carte présente des moyennes qui ont été normalisées. On ne peut donc pas véritablement saisir une variabilité interannuelle dans cette carte moyenne. On peut l’affiner en ajoutant des données plus récentes si on veut mesurer ou étudier l’impact des changements climatiques.

Vous pouvez télécharger le code sous R à travers le lien suivant: https://drive.google.com/drive/folders/1AJmTwEs2nMbCAcWg3cc128oneSmCjFRu?usp=sharing ainsi que toutes les cartes. Si vous avez besoin d’aller plus loin dans l’analyse, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : contact@deuxmo.org

LE CLIMAT EN REPUBLIQUE CENTRAFRICAINE : Températures & Précipitations moyennes (1981 – 2010)

Répartition spatiale conjointe des précipitations annuelles moyennes et des températures moyennes annuelles sur la période 1981–2010 sur le Cameroun

Carte bivariée montrant la répartition spatiale à la fois des précipitations annuelles moyennes et des températures moyennes annuelles sur la période 1981–2010 en République Centrafricaine. Elle permet d’identifier grossièrement les zones agro-climatiques distinctes et de ressortir les contrastes régionaux en République Centrafricaine.

Inspirée de l’exemple partagée par @milosmakesmaps sur X, une lecture de la légende nous indique qu’un croisement de couleurs différentes a été faite afin de faciliter une lecture et une interprétation simpliste de la carte.

En bref donc, les températures ont été classées en trois niveaux (basses, moyennes, élevées) et les précipitations également, ce qui permet de distinguer 9 catégories climatiques représentées par un dégradé de couleurs bivariées allant du bleu (froid et humide), au rouge foncé (chaud et sec) avec un violet représentant les zones à la fois chaudes et humides.

Cette cartographie des conditions climatiques peut améliorer la compréhension des systèmes agricoles, les vulnérabilités hydriques ou thermiques et les potentiels d’adaptation ou de diversification agricoles. Pourquoi certaines cultures sont faites ici et pas là ? Quelles sont les zones qui sont les plus sensibles à la sècheresse ? Quelles cultures peuvent être le plus affectées par la variabilité pluviométrique ? Quelle zone pour quel type d’agriculture ? Cette carte présente des moyennes qui ont été normalisées. On ne peut donc pas véritablement saisir une variabilité interannuelle dans cette carte. On peut l’affiner en ajoutant des données plus récentes si on veut mesurer ou étudier l’impact des changements climatiques.

Vous pouvez télécharger le code sous R à travers le lien suivant : https://drive.google.com/drive/folders/1AJmTwEs2nMbCAcWg3cc128oneSmCjFRu?usp=sharing ainsi que toutes les cartes avec une très bonne résolution. Si vous avez besoin d’aller plus loin dans l’analyse, n’hésitez pas à nous contacter à l’adresse suivante : contact@deuxmo.org

La ville de Sangmélima

La ville de Dschang

La ville de Maroua